Le football des vrais passionnés est de retour ! LA LIGUE CONFORAMA !
A l’issue d’une partie rythmée, Nice a pris le dessus sur Rennes (2-1), ce, lors du match d’ouverture de la 5e journée de Ligue 1.
Les Aiglons démarraient la rencontre pied au plancher. Dans le premier quart d’heure, les locaux donnaient des frissons à Koubek, qui intervenait devant Maolida avant d’être sauvé par sa barre sur une frappe lointaine de Lees-Melou. Dépassés, les Bretons obtenaient toutefois un penalty pour une faute d’Hérelle sur Siebatcheu. Mais Benitez, déjà énorme contre Lyon avant la trêve, intervenait parfaitement sur la tentative écrasée de Bourigeaud !
Au retour des vestiaires, Saint-Maximin rendait fous les Rouge et Noir avec plusieurs accélérations dévastatrices. Mais les hommes de Sabri Lamouchi restaient solidaires et bénéficiaient même d’un coup de pouce du destin. Sur une frappe dévissée de Del Castillo, Sarr déviait malencontreusement le ballon dans son propre but (0-1, 58e). Preuve que rien ne souriait au Gym, Maolida touchait à son tour le poteau après avoir effacé Koubek, qui s’arrachait pour sauver son équipe sur cette action.
Sous pression, Rennes n’était pas loin de concéder un penalty pour une faute sur Atal, finalement averti pour simulation après utilisation de la VAR par M. Miguelgorry. En fin de match, le remuant Saint-Maximin finissait par arracher l’égalisation sur une frappe à ras de terre après une tenative ratée de Maolida (1-1, 77e). L’ancien Lyonnais, très intéressant ce soir, délivrait même une passe décisive pour Lees-Melou, qui punissait Koubek d’une superbe frappe enroulée dans la lucarne (2-1, 89e). Nice est allé la chercher !
Plus tard dans la soirée et malgré une première période sans relief, le Paris Saint-Germain a facilement dominé Saint-Etienne (4-0), ce vendredi, dans le cadre de la 5e journée de Ligue 1.
Sans Neymar et Kylian Mbappé, les Parisiens rencontraient des difficultés à casser l’impressionnant rideau défensif stéphanois. Au contraire, l’ASSE parvenait à se projeter rapidement vers l’avant et obtenait trois belles opportunités par Salibur, Perrin et M’Vila, qui donnaient tous des frissons à Areola. Bousculé, le club de la capitale s’en remettait à Verratti. D’une ouverture lumineuse, l’Italien servait Draxler, qui contrôlait le ballon de la tête avant d’enchaîner avec une nouvelle tête, lobée cette fois-ci, dans la lucarne de Ruffier (1-0, 23e).
Surpris, les Verts restaient solidaires. Mais face à une équipe dès lors plus tranquille, les hommes de Jean-Louis Gasset trouvaient de moins en moins de solutions pour se rapprocher du but d’Areola malgré la belle impression laissée par Salibur et Khazri. Et le PSG, dans tout ça ? Eh bien, les champions de France géraient sans impressionner. Ce qui avait parfois le don d’agacer Thomas Tuchel, très expressif sur le bord de la touche jusqu’à la pause.
Au retour des vestiaires, Le PSG se détachait définitivement. Cavani, inexistant en première période, obtenait un penalty pour une faute de Perrin qu’il transformait sans souci (2-0, 51e). Un but qui enfonçait les Verts, a la rue dès lors et incapables d’enchaîner trois passes dans le camp adverse. Dans le dernier quart d’heure, Di Maria, encore une fois très actif, accentuait le succès parisien d’une lourde frappe croisée sous la barre (3-0, 76e) alors que Diaby clôturait le spectacle après une belle action collective (4-0, 84e). Place à Liverpool désormais !
Place maintenant aux petites équipes pour satisfaire le petit peuple prolétaire!