A l’occasion de la 7e journée de Ligue 1, Nîmes reçoit le Paris Saint-Germain ce vendredi (21h, Téléfoot) au Stade des Costières. Le coach nîmois Jérôme Arpinon doit composer avec les absences de Ferhat, Sarr, Valerio et Depres, tous blessés. En face, c’est un PSG décimé qui se déplace dans le Gard. Thomas Tuchel est privé de nombreux joueurs : Kurzawa, Di Maria et Marquinhos sont suspendus, Draxler, Verratti, Icardi, Kehrer et Bernat sont à l’infirmerie. La recrue Danilo Pereira, cas contact de Cristiano Ronaldo, est également absente. Enfin, Neymar est finalement absent du groupe dévoilé ce jour.
Testé positif au Covid-19 il y a deux semaines, Herrera a annoncé jeudi son retour dans l’équipe et il est bien présent dans le groupe. Titulaire contre Croatie (2-1) mercredi avec les Bleus, Mbappé débute la rencontre dans le onze de départ. Les deux dernières recrues Kean et Rafinha effectuent leurs débuts ce soir. Voici la composition des deux équipes.
Nîmes : Reynet – Burner, Landre, Miguel, Paquiez – Cubas, Deaux, Fomba – Eliasson, Roux, Ripart (c).
Paris SG : Navas – Florenzi, Diallo, Kimpembe (c), Bakker – Rafinha, Paredes, Gueye – Sarabia, Kean, Mbappé.
Plus tôt dans la soirée, Rennes a été accroché sur la pelouse de Dijon (1-1).
Rapidement dominateurs, les Bretons allumaient la première mèche par Bourigeaud, qui faisait briller Allagbé. Si Chouiar donnait à son tour des frissons à Salin sur une belle frappe enroulée, Terrier, parfaitement servi par Traoré, ne se faisait pas prier pour ouvrir la marque d’un plat du pied croisé (0-1, 24e). Sereins et bien en place, les Rennais géraient assez tranquillement les débats face à une équipe du DFCO trop peu dangereuse malgré une tentative de lob de Sammaritano avant la pause.
Plus agressifs au retour des vestiaires, les locaux revenaient dans le coup par Baldé, qui réalisait un petit festival entre Aguerd et Rugani pour ajuster Salin à mi-hauteur (1-1, 54e). Alors que Lautoa passait tout proche de marquer d’une frappe lointaine, Aguerd ratait lui le cadre sur une tête croisée à bout portant tandis que Tait touchait la barre sur sa reprise de volée. Malgré la pression mise dans le camp dijonnais en fin de match, Rennes ne trouvait plus la faille. Un deuxième nul de rang pour les hommes de Julien Stéphan.